En quoi, nous - électeurs français -, adhérer à la mécanique de raisonnement de la – « truie bleu nuit » - serait de nature à nous rendre éligible, ipso facto, aux lieux d’aisance ?
La truie – « bleu saphir » - a récemment été condamnée pour détournement de fonds publics dans l'affaire des assistants parlementaires européens, avec une peine de cinq ans d'inéligibilité et quatre ans de prison, dont deux aménagés sous bracelet électronique.
Elle a fait appel de cette décision, tout en dénonçant ce qu'elle qualifie de – « décision politique » - et en prenant à témoin l'opinion publique.*
Soyons clairs ! C’est du – « foutage de gueule caractérisé » -.
Son appel au peuple à descendre dans l’espace public est une authentique tentative de mobiliser son électorat et de remettre en question la légitimité de la justice.
Ses déclarations relèvent d’une stratégie politique classique pour maintenir son influence malgré la condamnation grave dont elle fait l’objet.
Mais enfin ! Comment peut-on raisonnablement ne pas comprendre en quoi et pourquoi les infractions délictuelles dont elle fait l'objet ont été matérialisées et justifiées alors qu'il n'y a pas objectivement matière à tergiverser sur le bien fondé des accusations portées contre elle ?
Alors certes, c’est une affaire entendue, la – « truie bleu profond » - peut nier les faits juridiques, c'est droit, quand bien même ce dernier est – « malhonnête intellectuellement » -.
Elle peut donc exercer sa capacité de contestation, mais cela ne change rien à la réalité des infractions délictuelles constatées et justifiées par la justice.
Quant à sa stratégie de communication adoptée.
Elle est largement perçue comme étant une tentative de détournement de l’attention ou de mobilisation du peuple pour la soutenir. Mais à l'évidence, cela ne modifie en rien la nature des faits délictuels incriminés.
Ce qui précède démontre ce que je crois ! Je ne fais donc pas partie des gens qui se laissent influencer comme des moutons de panurge, par des – « discours polico-émotionnels » -.
Quand une juriste de formation, avocate, de surcroît commet des infractions délictuelles, elle relève ipso facto du périmètre des – « circonstances aggravantes » -.
Un vieil adage dit aux gens lambda : "nul n'est censé ignorer la loi"...!
Dont acte !
Comment peut-on alors imaginer une seule seconde que cette maxime ne saurait s'appliquer à une avocate ? D'ailleurs, on pourrait même dire que ce principe prend encore plus de poids pour elle, puisqu'elle a une – « connaissance approfondie » - du droit pénal et est censée maîtriser les lois
Alors ! Aux gens – hors & dans – les réseaux sociaux, mais singulièrement :
- A ces insuffisant(e)s – « culturel(le)s» - (anciens cancres de l’enseignement secondaire) ;
- A ces insuffisant(e)s – « cognitif(ve)s – (incohérent(e)s &/ou inconséquent(e)s de l’enseignement supérieur) ;
Lorsqu’une avocate commet une infraction délictuelle, à fortiori, elle ne peut pas prétendre à l'ignorance de la loi comme excuse —.
Dans le cas contraire, cela serait totalement irrecevable, certes ! Mais selon moi, cela relèverait de ces choses que l'on voit flotter juste avant de tirer la chasse d'eau !
Or donc, détourner des fonds publics, même sans usage personnel, constitue une infraction pénale.
Dans le cas de la truie – « bleu foncé » -, le détournement de fonds publics européens est qualifié d’Abus de confiance.
Lorsqu’une professionnelle du droit pénal, avocate, de surcroît, commet ce type d’infraction, sa qualité est forcément perçue comme un élément aggravant pour 3 raisons :
1 – Pour violation de l’éthique et de la confiance publique caractérisée :
Une juriste comme la – « truie bleu saphir » - a logiquement une mission de conseil et de respect du cadre légal. Puisqu'elle a détourné et s'est rend complice d’un détournement de fonds publics (nationaux ou internationaux), ipso facto, elle trahit cette mission.
2 – Sa maîtrise du droit pénal et de sa - "conscience" - de l’illégalité :
Contrairement à un – « individu lambda » - qui pourrait invoquer l’erreur ou l’ignorance ! Une avocate ! Donc une professionnelle du - droit pénal -, ne peut pas prétendre ne pas savoir que son acte est illégal ! Ce n’est possible de croire ça ! Ou alors on est ipso facto éligible au – « royaume des cieux » - comme sait dire cette connerie de bible... !
Il faut donc arrêter d'être con - tactiquement - ou imbécile- stratégiquement -.. ! Car, dans le cas contraire, on ne vous prendra plus pour des cons, on vous laissera pour des cons (le verbe n'est pas le même) !
Tertio – Les conséquences sur le fonctionnement des institutions :
En utilisant frauduleusement les fonds publics européens (impôts des nationaux) la – « truie bleu foncé » - à altéré l’efficacité des services rendus aux Européens. Elle a donc objectivement généré des pertes conséquentes pour la collectivité européenne, et donc pour la France.
Nantis que vous êtes de ce qui précède ! Bon sang ! Comprenez-vous enfin, la raison pour laquelle les magistrats ont estimé à juste titre, que les infractions délictuelles de la – « truie bleu nuit » -, relèvent de peines plus lourdes, que s’il s’agissait d’une députée lambda européen, agricultrice, à titre d’exemple, qui n’est pas spécialiste du droit pénal ?
Comprenez-vous enfin en quoi et pourquoi dans le cas de la – « truie bleu saphir » -, qu’elle relève des condamnations suivantes :
- Amende substantielle,
- Peine de prison,
- Bracelet électronique
- Interdiction d’exercer sa profession,
- Inéligibilité à des fonctions électives… !
Sommes-nous définitivement clairs ?
Oui ! Parfait ! Greffier ! Affaire suivante !
Non ! Je m'en balec...! Et c'est le cadet de mes soucis
Pat dialecticien pour la rationalité ou pyromane pour l'irrationalité